RCA : RFI RAPATRIE SON CORRESPONDANT ET BARBOUZE EDOUARD DROPSY POUR INTELLIGENCE AVEC LE TERRORISTE ET ENNEMI PUBLIC NUMERO UN DES CENTRAFRICAINS NIMERY MATAR ALIAS « FORCE »

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Il y a quelques jours alors que les forces de la MINUSCA et les forces de Sécurité intérieure traquaient le terroriste NIMERY alias « FORCE», le correspondant de RFI et France 24 en Centrafrique Edouard DROPSY posait avec ce sanguinaire sans foi ni loi.

Pour preuve, l’on a observé sur les réseaux sociaux des images d’Edouard DROPSY ce journaliste partisan de la guerre, en train d’interviewer le tristement célèbre ennemi de la paix et du peuple centrafricain le soudard « FORCE ».

 

Annoncé ce jour pour une mission de reportage à Paoua en faveur de l’UNICEF, même si une source nous a indiqué que c’était sans doute pour rencontrer le boucher et Général autoproclamé BAHAR qui se trouve aux alentours de cette localité, Edouard DROPSY pris en flagrant délit de partialité a été rappelé en  France ce mardi, 13 avril.

En rappelant DROPSY, RFI qui a une très mauvaise presse pour les centrafricains, cherche à redorer son image de marque ternie au regard de ses reportages partisans et de sa proximité avec les opposants du Président TOUADERA et les criminels de la Séléka qui continuent de tuer les centrafricains depuis 2013.

DROPSY qui est censé être un journaliste professionnel, avait-t-il un agenda caché en Centrafrique ?

Sinon comment comprendre le boycotte de la couverture médiatique de la visite d’Etat du président portugais et européen Marcelo Rebelo De SOUSA à Bangui? Les Centrafricains peuple résiliant et hospitalier avaient réservé un accueil digne à l’hôte du Président TOUADERA.

L’on se souvient de la liesse populaire qui avait poussé les deux Chefs d’Etat à prendre plusieurs bains de foule depuis l’aéroport jusqu’au PK0 au centre-ville. Mais c’était sans compter sur le journaliste DROPSY dont les angles journalistiques sont les informations qui compromettent l’image de la RCA et celle des nouvelles autorités.

Pire, le pauvre reporter a été découvert en sanglot par les nombreux supporteurs de TOUADERA et de DE SOUSA. Du sol, les spectateurs avaient observé un DROPSY abattu et pensif depuis le 6è étage d’un immeuble au centre-ville comme on le voit sur l’image.

Depuis qu’il est en Centrafrique, ce correspondant des grands médias français ne s’intéresse qu’aux violences et aux opposants du régime. Alors que le Président TOUADERA fêtait ses deux ans au pouvoir, il a préféré tendre son micro au tristement célèbre président du micro parti RPR, Alexandre Ferdinand NGUENDET qui manque de propositions et qui passe son temps à vilipender le nouveau régime.

Loin s’en faut, DROPSY visiblement en mission commandée désertait la plupart des évènements à caractère officiel. C’est le cas de la cérémonie du lancement des travaux de réhabilitation du tronçon Baoro-Bouar d’un coût de 37 milliards de Fcfa dont le marché a été attribué à la société française Sogea-Satom.

Edouard DROPSY était absent aux cérémonies de remise du Building administratif, du Pont Sapéké et des autres réalisations à l’actif du Président TOUADERA.

Il y a encore deux jours, RFI et son ancien correspondant en Centrafrique avaient catégoriquement boycotté la première réunion du Groupe International de Soutien à la RCA. Le journaleux n’a pas dit un mot sur la présence du français Jean PIERRE LACROIX, Secrétaire général adjoint des Nations Unies chargé des Opérations du Maintien de la Paix qui a représenté l’ONU au cours de ces assises.

Pour ainsi dire que DROPSY ne s’intéressait nullement aux actions du gouvernement qui concourent au développement, mais se complaisait dans le reportage des informations qui rament à contre-courant de la paix, du développement et du retour de la cohésion sociale.

C’est avec un ouf de soulagement que les centrafricains vont apprécier le départ de ce barbouze déguisé en journaliste pour le reportage de leur malheur.

L’attitude ambigüe de DROPSY et de RFI pousse le citoyen lambda à s’interroger sur le rôle des médias français pendant cette période sensible et de la reconstruction de la RCA.

JOLINO DE NDABA et FREDDY MASSENGUE

 

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