HAROUNA DOUAMBA OU LE VISAGE HIDEUX DU PANAFRICANISME N’A PAS FINI DE FAIRE PARLER DE LUI
Cela pourrait être le scénario d'un formidable triller politique, mais c'est d'abord une histoire vraie. Après les révélations fracassantes au sujet des raisons de cabales médiatiques éhontées visant un partenaire économique de l’État centrafricain et certaines autorités judicaires centrafricaines, les Centrafricains connaissent désormais le vrai visage de ce méphistophélique Harouna DOUAMBA qui n’est qu’un maître-chanteur.
Pour rappel, cet écornifleur Harouna DAOUMBA est l’ancien locataire de l’immeuble PACIFIQUE appartenant au Groupe LAICO-RCA. Il est poursuivi pour non-paiement des factures de loyer à hauteur de près de 18.000.000 de FCFA.
Sachant qu’il court des risques puisqu’étant actuellement un prisonnier en sursis, Harouna DOUAMBA se lance dans la publication des articles calomnieux dans lesquels il jette des discrédits sur des autorités locales qui représentent des obstacles pour atteindre ses buts : l’annulation de la poursuite judiciaire enclenchée à son encontre par LAICO-RCA.
Par-dessus tout, le fameux panafricaniste procède par chantage et des tours passe-passe pour soutirer 200.000.000 de FCFA du PDG de LEDGER PLAZZA au motif qu’il pouvait lui rendre des services. Malheureusement pour lui, le PDG de LAICO-RCA qui a découvert le manège, lui a opposé une fin de non-recevoir.
L’on se demande par quelle alchimie ce pestiféré a pu emballer certaines autorités judiciaires de la place pour régler le compte de certains compatriotes journalistes qui se sont ligués pour dénoncer les mauvaises pratiques auxquelles se livre Harouna DOUAMBA. Une autre question est de savoir si ce dernier serait en territoire conquis en Centrafrique pour se permettre de défier les vrais Centrafricains ?
S’arrogeant pompeusement le titre de panafricaniste, l’homme dont l’objectif recherché en Centrafrique est de s’enrichir au maximum sur le dos des Centrafricains, comme à son habitude partout où il est passé, n’est pas un enfant de cœur comme le pensent certaines personnalités centrafricaines. Ce personnage sulfureux profite de l’imbroglio pendant ces périodes de troubles pour se faire une place dans l’arène politique comme quoi la Centrafrique est devenue un terreau fertile pour les pêcheurs en eau trouble.
D’origine Burkinabèe, ce faussaire hors-pairs déchu de sa nationalité de naissance, a commencé comme cuistot en Côte-d’Ivoire bien avant d’être chassé comme un malpropre dans ce pays où il a tenté de rouler dans la farine les autorités au nom de sa fameuse ONG ANA.
Piqué par la piqûre d’escroquerie, il va ensuite déposer sa valise en Guinée Equatoriale où il s’est établi pour ses activités mafieuses. Les autorités guinéennes très avisées, n’ont pas tardé à démasquer cet arnaqueur qui se fait passer pour un défenseur de la cause africaine. Elles ont fini par le déclarer persona non grata.
Au Gabon, les aventures ambiguës de ce mafieux panafricaniste ont terminé en eau de boudin parce que les Gabonais ne sont pas du genre à se laisser berner facilement par un quidam comme Harouna DOUAMBA surtout qu’ils privilégient toujours les intérêts gabonais avant tout.
Ce n’est que seulement ici en Centrafrique que tous les rapaces de tout bord se la coulent douce au point de se prendre pour des Centrafricains plus que les Centrafricains eux-mêmes. Saperlipopette !
Arrivé à Bangui par l’entremise du ministre Maxime Balalou, Harouna DOUAMBA va vite chercher à rentrer dans les bonnes grâces des autorités centrafricaines qui l’ont traité comme un petit Prince mettant en sa disposition une voiture de commandement et des gardes du corps. Comme un tel personnage activement recherché l’Interpol peut-il bénéficier d’un traitement ?
De sources bien informées, Harouma DOUAMBA procèderait souvent par le charlatanisme pour envoûter les autorités centrafricaines qu’il qualifie en privé des moutons. C’est grave ça ! Une pratique digne des apostats. C’est à se demander si Harouna DOUAMBA marcherait sur nos dirigeants pour qu’aucun d’entre eux ne puisse lever un petit bout de doigt pour l’arrêter dans sa folie ?
Harouna DOUAMBA se dit tantôt Agent des renseignements, tantôt panafricaniste, tantôt intermédiaire des potentiels investisseurs qui veulent s’installer en Centrafrique. Quel rôle joue justement cet apatride ? A dire clairement, ce Harouna est le visage hideux du panafricanisme et les autorités centrafricaines ont intérêt à prendre leur distance vis-à-vis de cet individu peu recommandable, soit lui demander de plier bagage.